-    Ci dessous toutes les informations pour comprend les Quileutes!Merci à http://twilight.over-blog.com/article-23439283.html

lycanthropie génétique
-    lycanthropie provoquée par la présence de vampire dont ils sont le seul prédateur.
-    pas besoin de pleine lune, même au début de leur vie de lycan
-    contrôle de soi sous forme de lycan : on n’a pas, ici, l’éternel gros soucis des loups garous ne reconnaissant personne à la pleine lune et massacrant tout sur leur passage.
-    grande rapidité de guérison… aux blessures physiques du moins
-    ne vieillissent pas à moins de contrôler et s’interdire les transformations
-    entendent les pensées, même les plus intimes, de leurs congénères sous forme animale
-    température corporelle au dessus de 40°
-    croissance rapide et impressionnante de « l’homme » lorsqu’il entre dans sa vie de lycan
-    incapacité à désobéïr aux ordres du chef de meute

    Dans l’univers de Stephenie Meyer, on ne devient pas loup-garou en se faisant mordre, du moins rien ne le laisse supposer puisque aucune morsure de lycan à un humain ne nous est contée.
En revanche, la légende Quileute narrée par Billy Black nous donne une autre version de ce qu’est cette « malédiction » qui a tout de même parfois des allures de bénédiction.

   Les loups garous le sont de manière génétique : ils descendent donc tous du même homme, un ancien guerrier qui a dû, par la force des choses, occuper le corps d’un grand loup.

    Cependant, cette mutation qui semble ne pouvoir se manifester qu’à l’adolescence peut ne pas avoir lieu : elle ne se développe que lorsque la présence de vampires est manifeste. Ainsi, Billy ne s’est jamais transformé, même après l’arrivée des Cullen, puisqu’à sa période de jeune homme ils n’étaient pas là.

    Autre différence avec le mythe, qui fait d’ailleurs sourire Jacob : les loups garous se transforment à la demande, ou presque. Pas besoin de pleine lune. Le « ou presque » concerne la difficulté éprouvée par certains pour contrôler ces métamorphoses provoquées par la colère ou tout autre sentiment assez fort pour déstabiliser le concerné. Il en va ainsi pour Paul, qui a vraiment un caractère de chien. (Oui elle était facile).

    Ceci est tout de même un très joli avantage par rapport à ce que l’on connaît d’ordinaire des lycans. Ceux-ci se maîtrisent relativement bien sous leur forme animale avec un minimum d’entraînement : dans les livres, il ne faut pas une année à tous ces lycans pour se maîtriser, et c’est fort heureux lorsqu’on considère que, lors d’une transformation involontaire, le chef de meute Sam a défiguré sa bien aimée…

                                         
    Les loups garous sont comme de bien entendu très grands (hauts comme des chevaux, si bien qu’on les confond pendant un temps avec des ours …c’te honte…), très musclés et donc très forts. Jacob répond aux craintes de Bella en disant qu’ils sont taillés pour résister aux vampires et les tuer, accessoirement, ce qui laisse assez augurer de leur puissance.
    Pour encore ajouter à leur efficacité, ils sont très rapides à cicatriser ; en quelques minutes, une plaie que Jacob se fait à la main se referme alors qu’elle aurait nécessité des points de suture chez n’importe quel humain.
    Autre avantage non négligeable pour des créatures vouées à la chasse aux vampires dans des contrées hostiles, ils ne craignent pas le froid, du fait de leur température corporelle élevée, qui est parfois également une bénédiction pour Bella.
    Le dernier atout de taille des lycans est leur capacité à s’entendre les uns les autres sur de longues distances. Sous leur forme animale, ils « lisent » l’esprit de leurs congénères sans qu’il soit possible de l’éviter. Si cette particularité est très utile en combat, elle est certainement la plus inappréciée des loups garous car ils n’ont alors plus aucun secret les uns pour les autres. Les obsessions de certains deviennent alors franchement agaçantes pour le reste de la meute. Ainsi, Leah se plaint à Jacob de ce qu’il pense trop à Bella, au point qu’elle-même en rêve la nuit, ce qui la contrarie. Jacob explique aussi son malaise à Bella en disant que ceci expose à tous toutes les hontes.

    Pour finir, une dernière caractéristique qui n’aide en rien le combattant mais apporte un intérêt certain au roman : l’imprégnation.
    Chaque lycan est susceptible d’être victime (il n’y a pas d’autres mots), de l’imprégnation. Ceci ressemble à un coup de foudre en bien plus important cependant, car il ne laisse aucun choix au concerné. L’élu devient alors une sorte de moitié sans laquelle il ne peut vivre, quoi que cela lui en coûte. Ainsi, Sam qui avait une liaison avec Leah s’est imprégné d’Emilie et malgré ses profonds remords, n’est pas en mesure de respecter les promesses faites à Leah ; bien que conscient de la blessure qu’il lui inflige, il voue sa vie à Emilie.
    La force de cet amour est telle qu’il semble même influencer l’être aimé, qui ne peut qu’aimer en retour tant le loup garou est « parfait » dans ce rôle.
    Jacob explique ainsi à Bella, lorsque Quil s’imprègne d’une enfant de 2 ans, provoquant tout de même un léger scandale au passage, qu’il sera pour elle ce qu’elle aura de mieux dans sa vie. Il deviendra ce qu’elle voudra, quand elle voudra : grand frère, confident, tout… Ceci laisserait-il cependant supposer, donc, que le lycan peut devenir un monstre si sa moitié le lui demande ?

   Précision apportée après lecture de Révélation :  on comprend dans le tout dernier tome qu'en fait les Quileutes ne sont pas des loups garous : les loups garous existent bel et bien, comme nous l'apprennent les Volturi qui les appellent "les enfants de la Lune", mais ils sont différents des Quileutes ne serait-ce que par leur incapacité à se contrôler.
   Il s'avère donc que nos Protecteurs se transforment en loups "par hasard" : si le premier d'entre eux avait fuisonné avec un caribou, ils en seraient encore à se transformer en caribou.